Coy is Féroé n°#2

Quand la tête te fait mal, que tu sens un malaise en toi,
Il faut lâcher prise, décontracte-toi !
Quand la tête te fait mal et que ça craint autour de toi,
Il faut lâcher prise, allez calme-toi !

Lâcher prise ne veut pas dire relâcher son attention
Lâcher prise, en d’autres termes, c’est refuser la pression
L’itinéraire d’une fille, l’itinéraire d’un garçon
Ne sauraient s’accommoder d’obligations, d’interdictions
Les certificats, les brevets, tous les diplômes avec mention
À eux seuls ne suffisent pas à former les générations
Etre à l’affût des sensations, être à l’affût des vibrations
Le savoir qui mène au pouvoir, entre les deux il y a l’action.

Le centralisme nous les brise, il faut lâcher prise
Partout on nous parle de crise, il faut lâcher prise
Le commerce et la loi du biz, il faut lâcher prise
Les infos et les analyses, il faut lâcher prise
La peur qui nous paralyse, il faut lâcher prise
Tous les discours qui nous défrisent, il faut lâcher prise
Les bien-pensants qui interdisent, il faut lâcher prise
Les gouvernants qui nous méprisent, il faut lâcher prise…

Ce qu’on appelle le système ou encore la société
Est un drôle de phénomène qu’il faut interpréter

Il faut y prendre de la peine, en saisir la complexité
Surtout pas rester à la traîne sinon tu te fais éjecter
L’ignorance est un grand danger, c’est comme aller les yeux fermés
Dans la danse le Papet est là pour te le rappeler
Au quotidien tu dois trouver l’information et discerner
Où est le mal, où est le bien, ce qui est faux, ce qui est vrai.

Prenètz lo bòn temps collèga
Prenètz lo tant que l’avètz
Quora serètz dins la panada
Lo bòn temps vos passarà
Lo pegin es una pesta
Lo vòli jamai pescar
Aquò m’es montat a la testa
E mai ne’n davalarà pas.

Les affaires qui scandalisent, il faut lâcher prise
Pas de gâteau sous la cerise, il faut lâcher prise
Les financiers qui vampirisent, il faut lâcher prise
La police qui verbalise, il faut lâcher prise
Ces fadas qui balkanisent, il faut lâcher prise
Le progrès qui nous spécialise, il faut lâcher prise
La violence et la bêtise, il faut lâcher prise
Avant que l’on soit dans la mouise …

(Flavien est trop stréssé en ce moment, il lahce prise alors!)

Chanson Populaire de Nice, qui nous a était enseigner par les Cannois (Cybille (sib) et Olivier) Les paroles sont un detournement du version plus officielle VOIR ICI

Voici l’air (pdf)

1^er coublet

Calant de Vilafranca
Per mi crompà’n capèu,
Mi sièu troumpà de pouorta
Sièu entrat au bourdèu.

Refren

Tralala, lalala,
Li gandaula si maridon,
Tralala, lalala,
Li gandaula soun maridà.

Ritournela

Vai que l’amour ti passera,
Fai la vireta, fai la vireta,
Vai que l’amour ti passera,
Fai la vireta, fai la vira.

2^e coublet

La frema dòu bourdèu
M’a dich qu’èri bèu
M’a fa calà li braia
Pi m’a suçà l’aucèu.

3^e coublet

Ti penses d’èstre bella
Ti manca li couloù.
Siès plèna de chatèla
Ti grates nuech e jour.

4^e coublet

Ti penses d’èstre bella
Ma bella lou siès pa.
Ti cau anà dou pintre
Per ti faire pintà.

5^e coublet

S’es mès la ròuba verda,
S’es mès lou casò blù.
A lu bas plèn de merda
Finda, cagà, vòu plus.

6^e coublet

Ai vist una gandaula
M’a pessugat l’aucèu.
L’ai poussà sus la taula
M’a mandat un bindèu.

7^e coublet

N’i avia una roussa
Qu’èra un bèu moucèu.
Li ai pihà li poussa,
M’a pessugat l’aucèu.

8^e coublet

N’i avia una pichina
Enbé de gros boutèu,
Un cùu coum’una tina
Li ai mès lou pincèu.

Un soir, dans un Baleti Citadin a marseille, au Balthazar, un groupe de chanteur a capella occitan avait intérprété cette canson, Aprés l’avoir chercher partout sur le Net en vain, j’ai directement demandé au groupe qui me l’avait chanter… et dans un soucis de partage la voici…

Massilia sound syteme l’a intérprété traduite sous le nom de Bouteille sur Bouteille, mais c’est une chanson traditionnelle d’ici.

Botelha sus botelha (prouvenço)

O’ se mi prèni
Una frema qui sié bèla
O’ grand dangier
De mi faire embanar
L’aura tant de galants
Que la trobaràn bèla
E mi faràn cocut
Vaqui l’amant fotut

Repic :
E virarà botelha sus botelha
E virarà botelha a torn de bràç
E virarà totjorn botelha sus botelha
E virarà totjorn lo gaubi de l’amor

O’ se mi prèni
Una frema qui sié paura
O’ grand dangier
De dever trabalhar
Mi faudrà trabalhar
Per metre pan sus taula
Trabalhar tot lo jorn
E farai pus l’amor

Repic

O’ se mi prèni
Una frema qui sié richa
O’ grand dangier
D’anar au cabaret
Me Ii vendrà cercar
En mi tratant d’ibronha
Mi manges tot mon ben
Ai pichòts resta ren

Repic

O’ se mi prèni
Una frema ben vilena
O’ grand dangier
De la ben regachar
Coma la regachar
‘Questa vièlha vilena
totjorn davant mei pas
Ce que m’agrada pas

Repic :
E virarà botelha sus botelha
E virarà botelha a torn de bràç
E virarà totjorn botelha sus botelha
E virarà totjorn lo gaubi de l’amor

Il y avait Clochette,

Il y avait pleins de vieux!

Il y avait une jolie fille qui se nomme comme Moi.

Il y avait le groupe Parasol,

Il y avait des Valses Asymétrique,

Il y avait Cannelle qui dansait de l’autre coté de la france.

Il y avait cette Valse a 11 temps,

Il y avait aussi la copine de Flavie,

Il y avait aussi du bon vin et des bons plats!

Mais il n’y avait pas de photographe,

Et pas nonplu de Galoubet.

(cependant ce Soir, Mardi 6 Février, a deux pas de chez moi, il y avait un balèti! un peu citadin… mais balèti)

Tout sa pour dire que je ne me souviens plus de ce que je voulais dire.

Si ce n’est qu’une fille avec un Galoubet dans la bouche c’est forcement Jolie!

Et que je veut partir! Sur les routes d’occitanies et d’ailleurs!

Là vous aller dire Mouai mais la photo sa fait plus Fest Noz que Bal Trad! Normal! je l’ai prise au hazard, c’était pas samedi!